Written by (Metropolitan FilmExport), Genre : Drame / biopicRéalisateurs :  Jay RoachActeurs : Charlize Theron, Nicole Kidman, Margot Robbie, John Lightgow, kate McKinnon, Mark Duplass, Allison Janey, Malcom McDowellPays : Etats-UnisDurée : 1h54Sortie : 22 janvier 2020Distributeur :  Metropolitan FilmExport. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La semaine suivante, Lionsgate négocie pour rejoindre la production, après que Focus Features et Amblin Entertainment aient refusé le projet [7]. Synopsis. Add the first question. « Jay Roach et son scénariste Charles Randolph racontent dans un film efficace et percutant le début de la révolte des femmes », « derrière l’apodictique étendard post-#Metoo, ce film dresse un portrait piquant de l’, meilleure actrice dans un film dramatique, Satellite Award de la meilleure actrice dans un film dramatique, Harcèlement sexuel sur le lieu de travail aux États-Unis, Centre national du cinéma et de l'image animée, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Scandale_(film,_2019)&oldid=174924550, Film avec un Oscar des meilleurs maquillages et coiffures, Article contenant un appel à traduction en anglais, Page pointant vers des bases relatives à l'audiovisuel, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. (archive footage). Agence Nationale de Gestion des Œuvres Audiovisuelles (ANGOA), Centre National du Cinéma et de l'Image Animée, Le docteur Delorme Si Scandale est à juste titre dans l’air du temps, la chaîne de télévision qui constitue son cadre rappelle Network (Sidney Lumet, 1976), où une rédaction luttait contre l’emprise du divertissement sur le traitement de l’information. Mais l’on n’est pas transportés non-plus, l’écriture et la mise en scène manquant de teneur dramatique, sans jamais vraiment relancer l’intrigue, et en négligeant les éléments d’une enquête jamais abordée. The documentary focuses on the classic "Quai Des Orfèvres" and many of it great scenes.But the director's own vision of the post-war days ,his settlement of scores ,"Manon", is sadly passed over in silence.The same goes for "Les Espions" his most complex work,which depicted the cold war cynically.Much time is given over to everyone's favorites "Le Salaire De La Peur" and "Les Diaboliques " the IMDb users took to the top 250 movies and which were both remade in US.They put HGC's second wife ,Vera,under the spotlight ; here again, the director's attitude was ambiguous :he did love this very attractive South-American and he would bully her as much as he did for his other actors ;Roger Boussinot,who hated "Les Diaboliques " , wrote:" it's not one of its least morbid appeals to see his wife (who had a heart condition in real life) play her own role on the screen.With the underrated "La Vérité" ,his work had,once again, its finger on the pulse of a changing society ,not yet prepared to accept that a woman should live like a man .That was Brigitte Bardot's finest performance -she wrote it was her best movie in her memoirs-,the scene when she cries out of pain ,in front of her judges and the populace ,afraid of an incipient women's lib has remained in our memories.An educated man,HGC never stopped experimenting : he filmed Picasso at work,an invaluable document,and as the young Turks of the Nouvelle Vaguelette were ridiculing him, he tackled his most ambitious work ,"L'Enfer" which would have made his detractors bite the dust ,if it had been completed (people interested in this doomed project should see 'L'Enfer D'Henri-Georges Clouzot" an absorbing documentary ).Some of its elements were integrated into his swansong ,"La Prisonnière".Let this documentary be an introduction to HGC for people who only know his two top 250 movies. Nicole Kidman est au même moment annoncée dans le rôle de Gretchen Carlson alors que Margot Robbie est en pourparlers pour jouer un personnage « composite » basé sur plusieurs personnes[5]. Le choix de la sobriété dans la représentation des actes délictueux va également au bénéfice du film, mais son ton trop didactique en réduit l’impact. Une reconstitution de l’affaire Roger Ailes, patron de Fox News, accusé en 2016 de harcèlement sexuel par des journalistes de la chaîne d’information continue américaine.