Cheyrou, les joueurs offensifs savent profiter de leur point d’appui devant. C’est simple : pour Dagui Bakari, le foot n’est qu’un sport de rue jusqu’à ses 16 ans, au moment où il signe sa première licence à Romainville, en Seine-Saint-Denis. Autrement dit, il n’a jamais connu de centre de formation, et le football s’est résumé pour lui durant 16 ans à un jeu sans grande discipline collective, sans consignes formelles ni règles du jeu très précises. Signaler un abus
En échange, et en donnant un peu d’argent aux Manceaux, le LOSC récupère Dagui Bakari. 1 Cette citation (et les autres, sauf indication contraire) sont extraites d’un supplément à la Voix des Sports du 26 juillet 1999, p. VIII. Après deux ans de traitement, il est déclaré hors de danger et après avoir entraîné des jeunes à Lambersart puis à Valenciennes, il est aujourd’hui entraîneur-joueur à Lomme-Délivrance, et s’est en parallèle reconverti dans le coaching privé, avec des exercices basés sur l’aspect psychologique du sport, et vit toujours dans la métropole lilloise. 4 ans plus tard, il signe à Noisy-le-Sec, en troisième division, avant d’atterrir à Amiens en D2 pour son premier contrat pro, où il ne joue que 3 matches : « ce fut une expérience difficile. Alors que l’équipe se procure quantité d’occasions, on trouve rarement Dagui Bakari à la finition, hormis pour quelques tentatives molles ou désespérées. À 31 ans, il doit prématurément mettre un terme à sa carrière. Biographie En club. Dagui avait marqué contre Anderlecht (2-3). Quelques minutes après, il inscrit son premier but en D1. À Lille, on connaît un peu la D2, tu parles, ça fait 2 ans qu’on y est. Il nous a même mis un but à Grimonprez-Jooris : c’était pour le premier match de Vahid au LOSC, pour un nul 3-3 entre Lille et Le Mans . Entre les deux chocs contre les Italiens, il a permis à Lille de battre Montpellier à la 93e (2-1). Ces classements oubliés, ringards, ou inventés par mes soins à partir de la réalité. Oui, mais c’est le même total que Laurent Peyrelade, et le meilleur buteur du club, Djezon Boutoille, n’en inscrit « que » 12. Le même adversaire qui a vu Grégory Wimbée changer de dimension. Le dernier d’entre eux, contre Anderlecht à Roubaix, a mis en évidence l’apport de Dagui Bakari en tant que point de fixation devant. La semaine suivante, il marque enfin son premier but à domicile, contre Le Mans, avant d’obtenir un pénalty après avoir renversé un défenseur d’un petit coup d’épaule. ⏰ 15h15 Stade municipal Cette fois, Dagui est bel et bien devenu une des coqueluches de Grimonprez-Jooris. Sûrement pas. Pour l’occasion, Hoodspot t’a préparé une petite liste de bars geeks où on trinque tout en s’amusant. Mais son apport au jeu est essentiel : son recrutement répond à un projet de jeu collectif dont il n’est qu’un maillon. La saison s’achève. Voici les, instructions pour activer JavaScript dans votre navigateur Web. La semaine suivante, il confirme à Lens, même s’il manque deux belles occasions : c’est sous sa pression que Rool marque contre son camp. Dans ce championnat réputé « physique », Vahid Halilhodzic a bien compris qu’il ne suffisait pas de cumuler les buteurs pour cumuler les buts (au début de la saison 1998/1999, les 6 attaquants du LOSC – Djezon Boutoille, Samuel Lobé, Franck Renou, Laurent Peyrelade, Olivier Pickeu et Jean-Louis Valois – pesaient 64 buts sur la saison 1997/1998 !). Créer un blog |
La fin de saison, comme celle de toute l’équipe, marque une fin de cycle : il est plus irrégulier mais parvient à hisser le club à la 5e place. http://droguebierecomplotlosc.unblog.fr/files/2016/05/bakari_nantes.mp3 Le but sur Fréquence Nord. À Lille, on connaît un peu la D2, tu parles, ça fait 2 ans qu’on y est. Il revient pour la 5e journée contre Metz, en remplaçant Murati à la 73e. Très honorable, mais cela correspond-il aux statistiques d’un avant-centre dont le club vise la montée ? Découvrez tous les spots et toutes les adresses situés. Il ne faut compter que sur l’indulgence du public face aux bons résultats et la confiance accordée à Vahid pour ne pas entendre Dagui se faire siffler… Lorsqu’il se blesse à l’automne et manque quelques matches, son remplaçant, Rudi Giublesi, pourtant pas plus efficace, est acclamé, manière polie de signifier que l’habituel titulaire ne convient pas. Pas forcément très bon pour sa place dans la hiérarchie des attaquants. Il entame la saison 2001/2002 dans la peau du titulaire, et score dès la 2e journée contre Lorient, peu après être entré en jeu (3-1) : il fallait en effet le ménager avant de se rendre à Parme. Peut-être qu’il a été recruté en cas de pépin pour Boutoille, Peyrelade ou Valois, les titulaires… ? Car le foot est un sport qui se joue à 11, et à la fin, il y a un complot contre le LOSC. Ainsi, contre Nantes, ci-dessous, il inscrit le seul but du match à la 93e, dans un scénario typique des années Vahid. Il n’y a pas d’équipe-type, mais le LOSC est en tête du championnat et son avant-centre pour le sprint final est désormais Dagui Bakari. Si son travail est assez ingrat, souvent dos au but, ceux qui tournent autour de lui, notamment Boutoille et Peyrelade, récupèrent les fruits de son travail. LILLE KARTING INDOOR. J’ai bénéficié de la confiance du staff pour progresser. Et Dagui sait aussi profiter du travail de ses équipiers : il entre en jeu à Châteauroux à la 73e, le score est de 1-1.
À vrai dire, a priori, il nous rappellerait plutôt Samuel Lobé, l’efficacité en moins, autant dire qu’il ne resterait plus grand chose.