Et au cinéma, c'est le carton aussi puisque après avoir joué au vampire avec Catherine Deneuve dans The Hunger (Les Prédateurs, réalisé par Tony Scott), il tourne sous la direction d'Oshima son meilleur rôle à ce jour, celui d'un prisonnier anglais d'un camp japonais en 1942 ("furyo" signifie "prisonnier de guerre" en japonais). CINÉMA Furyo : la version restaurée du film culte de Nagisa Oshima avec David Bowie le 18 mars 2015 au cinéma. Ici, n'y trouvez point de femmes qui pourraient tenter les soldats, ils peuvent tellement le faire entre eux. Les liens affectifs violents, plus que troublant, existant entre Jack et le commandant renforce l'atmosphère ambiguë, qui rend mal à l'aise le spectateur. Avec Furyo je retrouvais véritablement ce qui m'avait charmé dans les romans de Sôseki Natsume : une construction inhabituelle du récit. Et au cinéma, c’est le carton aussi puisque après avoir joué au vampire avec Catherine Deneuve dans The Hunger (Les Prédateurs, réalisé par Tony […]. La réalisation d'Oshima est sans reproche. Choc des cultures, étude de l'homme, un must. En 1983, David Bowie cartonne au hit-parade avec les tubesques Let's Dance et China Girl. On est loin de La Cage aux Folles ou Pédale Douce. Pour participer à - Critique du DVD Outre qu'il prouve qu'on peut réaliser un hymne aux rapprochements des cultures sans tomber dans la platitude, la niaiserie ou l'académisme, Furyo tire sa force du sens du casting d'Oshima ainsi que des contrastes créés par sa légendaire bande son et sa réalisation et prolonge dans le cadre d'une production à gros budget la force de contestation d'un certain cinéma japonais. été fourni. Merci de vous logguer pour voir votre note, l'ajouter ou la modifier! Film étrange, limite expérimental, aussi touchant que distant. 01/01/83 01h01 . Après plusieurs décennies d’existence, des dizaines de milliers d’articles, et une évolution de notre équipe de rédacteurs, mais aussi des droits sur certains clichés repris sur notre plateforme, nous comptons sur la bienveillance et vigilance de chaque lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe. Cela se vérifiera encore dans Tabou (1999), le dernier film qu'il a réalisé à ce jour, où, après l'armée, l'homosexualité démystifie un autre archétype japonais : l'élite virile des samouraïs. vos avis 40 critiques: 3.59/5. une bande son qui participe de l'ambiance du film. T1 - Tomomi Usui – chronique BD, Le blog de Cléo – Beka, Grégoire Mabire - chronique BD, Le col de Py . Distinctions. "Je veux juste en finir" : que vaut le thriller psychologiqu... Aloe Blacc en mode feel good avec “All Love Everything”, Quand le design et le street art rencontrent le patrimoine, #MusicToo : “Ce qui compte, c'est la fin de l'impunité”, Les 8 plateformes de streaming du cinéma d'auteur. J'avais vu deux ou trois autres films avant, dont Ran de Kurosawa, mais ils n'étaient pas "choquant" pour un européen. Pourquoi une telle vénération pour ce film? Voici une des plus grandes œuvres du cinéma asiatique. C'est la radicalité de ces positions qui font qu'Oshima a toujours été plus révéré par les cinéphiles et la critique à l'étranger que chez lui. Furyo : la version restaurée du film culte de Nagisa Oshima avec David Bowie le 18 mars 2015 au cinéma, Adolphe - Benjamin Constant - La critique, De sang-froid - Truman Capote - La critique, Don Quichotte - Miguel de Cervantès - La critique, Gatsby le Magnifique - Francis Scott Fitzgerald - chronique du manuscrit, une association culturelle à but non lucratif, Max mon amour - la critique du film + le test blu-ray, Une petite sœur pour l’été - la critique du film, Il est mort après la guerre - la critique du film, Le journal de Yunbogi - la critique du film, Des vies à découvert - Barbara Kingsolver - critique, Adolescentes - Sébastien Lifshitz - critique, Au bout du tunnel - la critique du film + le test blu (...), Gébé, on arrête tout, on réfléchit - Pierre Carles, Yoga - Emmanuel Carrère - critique du livre, Quatre mariages et un enterrement - Mike Newell - critique, Papy fait de la résistance - la critique du film, Ça commence aujourd’hui - Bertrand Tavernier - critique, RIP .