Le film a été tourné à Lyon, et plus particulièrement : quais du Rhône et de la Saône, opéra de Lyon, passage Ménestrier, passerelle du Collège, restaurant le Cintra, Confluence, préfecture du Rhône, théâtre de la Croix-Rousse, Cité internationale, parc de la Tête d'or, mairie du 6e arrondissement[3]. Fabrice Luchini dit qu'il ne s'est absolument pas inspiré de Gérard Collomb, le maire de Lyon, pour jouer son personnage et qu'il n'est pas du tout emballé par la politique mais qu'il décèle chez les politiciens « une névrose très mystérieuse »[1]. Pour Le Figaro, c'est « une fête des maires qui fait des étincelles[5]. ***Un clic et un abonnement font toujours plaisir ;) et même un commentaire ! Troisièmement, dans le « monde » d’Alice fourmillent des conceptions du monde disparate. Et la philosophie est la connaissance du Bien. Mais personne ne lui répondit. La nouvelle venue apprendra vite que les réunions sont semées de peaux de banane. Deuxièmement, la jeune philosophe incarne une jeunesse désillusionnée par la politique et par la gauche. Critique Cannes 2019 : avec “Alice et le Maire” Nicolas Pariser filme la politique dans les pas d’Eric Rohmer Voir plus Alice et le maire Sortie le 02 octobre 2019 Lui, ce socialiste croyant au Progrès, pour qui la politique sont des « idées », de nouvelles et de perpétuelles conquêtes, déprime. [Le livre du mois] Retraites : Impasses et perspectives. J’ai aussi beaucoup regardé de documentaires ou lu de reportages sur le sujet. », CinéSéries a globalement apprécié le film : « une plongée jubilatoire et très critique dans le monde des collectivités territoriales et de la politique[6]. Deuxièmement, la jeune philosophe incarne une jeunesse désillusionnée par la politique et par la gauche. Non. Lecture du Monde en cours sur un autre appareil. Mais l’irruption d’Alice dans la vie du maire va changer la donne. ARTICLE - « Pour parvenir à réduire le paradoxe entre liberté formelle et asservissement social, il a fallu consolider le droit des travailleurs » @sylcafi revient sur les analyses de Patrick Artus et son incompatibilité avec une politique sociale. En lui proposant des « fiches » sur des thèmes variés, elle nouera peu à peu une relation intellectuelle et personnelle avec lui. Dans cet article pour @ReconstruireFR (merci à eux ) j'ai essayé d'analyser l'idéologie économique dominante pour mesurer son incidence sur nos institutions sociales. Luchini et Anaïs Demoustier sont parfaits, la folle Maud Wyler aussi.Un petit bémol pour l'image qui n'est pas toujours parfaite. Deux auteurs, deux orientations. Mais l’irruption d’Alice dans la vie du maire va changer la donne. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. https://www.reconstruire.org/goguettes/, Ce matin, lors d'un café avec @alancelin, nous avons pu évoquer l'écriture de son dernier livre, La Fièvre paru aux @editionsLLL. Mais mon premier choc politique passe par la littérature, à mon arrivée à Paris. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Le portail était ouvert et il entra." Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Les oppositions éructent dans leur coin et constituent ce que Guy Debord appelait les « formes rivales du pouvoir séparé ». La mécanique s’est grippée. ", demanda-t-il. Il pénétra alors dans une immense salle, au centre de laquelle se trouvait une grande table recouverte de mets plus délicieux les uns que les autres. Elle tombe à pic. L’optimisme du « désir d’avenir » pour toujours plus de progrès social est dépassé, car définitivement associé à un enfumage et à une langue technocratique déconnectée des réalités (« union internationale des mégalopoles pour le progrès », « fédéralisme partagé » et autres joyeusetés joliment ridiculisées dans le film). Alice et le Maire est une comédie dramatique française réalisée par Nicolas Pariser, sortie en 2019. Et cela fuse. Les Suisses acceptent du bout des lèvres l’acquisition de nouveaux avions de combat pour 5,6 milliards d’euros, Sur Google, l’heure des recherches à « zéro clic », Scandale William Saurin : « A chaque affaire, les réglementations rendent toujours plus lourde et complexe la machinerie comptable des entreprises », « Face aux urgences sociales et environnementales, un nouveau modèle philanthropique doit se réinventer ». L’étonnement est le commencement de la clairvoyance ». Là, franchement, il rame. Citer Philippe Murray. Ce n’est plus « l’opinion qui ne pense pas », comme disait Gaston Bachelard, mais bien le politique… Paul Théraneau étant finalement le seul des personnages à n’avoir plus d’idée sur le monde qui l’entoure. Et aller voir Alice et le maire. Alors, que faire, que penser quand les idées « voguent dans les mêmes eaux pour s’y dissoudre et y mêler leurs ultimes déchets » ? Cohabitent ainsi une femme prophète de malheur à tendance collapsologue, un homme de gauche qui en veut à son camp d’être bêtement anticapitaliste et d’avoir délaissé Pasolini, un imprimeur qui méprise la politique.