C'est à lui que l'on doit entre autres en 1880 la création des Mousquetaires au couvent de Louis Varney (fils d'Alphonse) et de La Mascotte d'Edmond Audran. Gustave Quinson, directeur à son tour, fait appel à Sacha Guitry qui lui donne entre 1914 et 1917 cinq pièces, parmi les plus réussies de son œuvre. Celui-ci s'associe avec Dominique Dumond, directeur de la société Polyfolies qui produit entre autres Le Quatuor, avant de lui céder la direction en septembre 2013. Elle doit renoncer à la direction en juillet 1867[3] et passe la main à Charles Comte, qui est entretemps devenu le gendre d'Offenbach en épousant sa fille, Berthe. The Théâtre des Bouffes-Parisiens (French: [teɑtʁ de buf paʁizjɛ̃]) is a Parisian theatre founded in 1855 by the composer Jacques Offenbach for the performance of opéra bouffe and operetta.The current theatre is located in the 2nd arrondissement at 4 rue Monsigny with an entrance at the back at 65 Passage Choiseul. Également directrice du théâtre Mogador à partir de 1970, Hélène Martini quitte la direction en 1974 pour s'occuper à plein temps des Folies Bergère. Edmond Roze (également metteur en scène) puis Albert Willemetz le secondent à la direction. ne sont plus acceptés, y compris dans le vestiaire. D'autres compositeurs seront sollicités dont Léon Vasseur en 1872 avec La Timbale d’argent sur un livret d'Adolphe Jaime et de Jules Noriac ainsi qu’Emmanuel Chabrier avec L’Étoile en 1877. La paix revient …avec « Phi-Phi » ! En 1826, le magicien et ventriloque Louis Comte doit quitter le passage des Panoramas où il a installé son théâtre des Jeunes-Élèves. Associé au dramaturge Jules Noriac, Comte renoue avec le succès en créant plusieurs œuvres de son illustre beau-père comme L'Île de Tulipatan, La Princesse de Trébizonde ou, après l'interruption de la guerre de 1870, Madame l'Archiduc, La Créole et La Boîte au lait. Théâtre des Bouffes Parisiens .
ne sont plus acceptés, y compris dans le vestiaire. Il fait également représenter des auteurs tels que Jean Cocteau (La Machine infernale), Louis Verneuil (L'Amant de Mme Vidal), Sacha Guitry (Ô mon bel inconnu), Roger Ferdinand (Les J3 ou la Nouvelle école) avec François Périer, Elvire Popesco, Jacqueline Porel.
Un vestiaire gratuit est à votre disposition. Il rachète le bail, et ouvre le 29 décembre 1855 les Bouffes d'hiver (en référence à la salle des Champs-Élysées qui devient les Bouffes d'été).
Le théâtre des Bouffes-Parisiens est une salle de spectacles parisienne située 4 rue Monsigny dans le 2e arrondissement de Paris. selon les recommandations des projets correspondants. « Le public aux Bouffes-Parisiens », caricature d', Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous. Dominique Dumond est rejoint par Alain Sachs en 2014[6], En 2010, cinquante théâtres privés de Paris réunis au sein de l’Association pour le soutien du théâtre privé (ASTP) et du Syndicat national des directeurs et tourneurs du théâtre privé (SNDTP), dont font partie les Bouffes-Parisiens, décident d'unir leurs forces sous une nouvelle enseigne : les « Théâtres parisiens associés »[7]. Celui-ci s'associe avec Dominique Dumond, directeur de la société Polyfolies qui produit entre autres Le Quatuor, avant de lui céder la direction en septembre 2013. Compte tenu des contraintes liées à l'épidémie du COVID-19, nous vous invitons fortement à choisir le e-ticket pour les événements à venir. Il monte entre autres « la Machine infernale » de Jean Cocteau et « Pygmalion » de Georges-Bernard Shaw qu’il joue avec Jeanne Moreau.
Un de ses auteurs, Albert Willemetz prend alors la direction des bouffes de 1920 à 1948…et au-delà, car même devenu président de la S.A.C.E.M, il continuera à hanter « son théâtre » jusqu’en 1957 ! Elle doit renoncer à la direction en juillet 1867[3] et passe la main à Charles Comte, qui est entretemps devenu le gendre d'Offenbach en épousant sa fille, Berthe. Gustave Quinson, déjà directeur du théâtre du Palais-Royal, du Gymnase et du Vaudeville, lui succède en 1913.
De 1918 à 1921 « Phi-Phi », gamine charmante, triomphe à l’affiche. Dotée d'un double accès passage Choiseul et rue Neuve-Ventadour (aujourd'hui rue Monsigny), elle est inaugurée le 23 janvier 1827. Eugénie Mondovi lui succède en janvier 1958, suivie d'Hélène Martini qui revient aux comédies de boulevard, notamment celles de Barillet et Grédy jouées par des spécialistes du genre tels que Maria Pacôme, Sophie Desmarets et Jean Poiret (Fleur de cactus en 1964), Robert Hirsch, Pierre Mondy, Jean Le Poulain, Marthe Mercadier ou Jacqueline Maillan qui y crée Folle Amanda en 1971. Peter Ackermann, Ralf-Olivier Schwarz et Jens Stern, « Jacques Offenbach und das Théâtre des Bouffes-Parisiens 1855 » in Jacques-Offenbach-Studien, tome 1, Muth, Fernwald, 2006 (ISBN 3-929379-15-5). Eugénie Mondovi lui succède en janvier 1958, suivie d'Hélène Martini qui revient aux comédies de boulevard, notamment celles de Barillet et Grédy jouées par des spécialistes du genre tels que Maria Pacôme, Sophie Desmarets et Jean Poiret (Fleur de cactus en 1964), Robert Hirsch, Pierre Mondy, Jean Le Poulain, Marthe Mercadier ou Jacqueline Maillan qui y crée Folle Amanda en 1971. Il fait également représenter des auteurs tels que Jean Cocteau (La Machine infernale), Louis Verneuil (L'Amant de Mme Vidal), Sacha Guitry (Ô mon bel inconnu), Roger Ferdinand (Les J3 ou la Nouvelle école) avec François Périer, Elvire Popesco, Jacqueline Porel. De 1986 à 2007, les Bouffes-Parisiens sont dirigés par Jean-Claude Brialy, remplacé depuis sa mort par son compagnon et collaborateur, Bruno Finck[5].