Il est aussi membre de la clique Trapzik et forme le duo “Les frères de la piscine” avec le producteur Pink Flamingo, lui-même également membre de la SuperWak Clique avec qui il collabore sur la grande majorité de ses titres. Son premier album studio nommé Radio Suicide, entièrement produit par Pink Flamingo sort le 21 juin 2019. Je m’en irai courir dans le paradis blanc. Sauf que c'est lui qui vient probablement de produire la première véritable grande œuvre du rap suisse. Il parle d’autodérision, des défis qu’il se lance à lui-même. Sa référence? L’entrée dans la cour des grands pour ce passionné de 23 … «Ce n’était pas pour moi.» Un après-midi, son copain Manu vient le chercher pour aller rapper, un peu au hasard. En 2018, il est presque muet puisqu'il n'apparaît que sur trois titres durant l'année dont le single Depeche Mode, en collaboration avec ses collègues genevois Di-Meh et Slimka. «Comme dans mes rêves d’enfant. C’est son boulot. Je vais vivre du rap pour le plaisir.». Figure montante du rap genevois, Makala a décroché un contrat chez BMG France en décembre. Radio Suicide Show | Imbéciles Cup EP. Sur scène, à Bruxelles, Lausanne ou Paris, son énergie électrise. Son double insaisissable et protéiforme, comme le décrit Makala. Comme Di-Meh et Slimka, Makala vient de Suisse. 2 respectivement en 2014 et 2015, suivi par la version de luxe la même année qui comprend 17 morceaux : une compilation comprenant les deux premiers volumes ainsi que deux titres inédits. «Jvois en grand jvise le globe. «Chacun crée son histoire, le rap peut exister pour lui-même.» La preuve, son collectif, Superwack (D-Meh, Slimka…), est un oxymore à lui seul, l’union de deux forces. À partir de ce moment-là, la carrière de Makala ne va qu'aller de l'avant. Derrière ses tracks à succès, le producteur Pink Flamingo, vainqueur du concours Demotape Clinic Urban en 2016. Compte le nombre de panier que je mets, Clint Capela.» Hommage à la réussite des self-made-men. En 2014, avec «Varaignée», Makala étend son aura un peu plus loin encore. Adolescent, il se cherche et écourte rapidement les études après un ou deux ans à l’école de commerce et à l’ECG. AKA: Jordy Makala, Big Boy Mak, Smakala, Big Daddy Mak, MakalacLeman, Double Brassard, Makalaveli, Makalaxtrm, and LeMak. En 2006, il se met à écrire ses premiers textes de rap[3]. En 2012, il rentre au sein du label Colors Records de Genève et participe à son premier concert à l'Usine[3]. Cependant, il sort en 2019 son premier album intitulé Radio Suicide. David Hadzis, le Sisyphe du patrimoine musical, La gauche fait passer le salaire minimum à Genève, Ecco, l’ergonomie danoise s’installe à Genève. Son nom : « Radio Suicide ». Avec ses complices de la clique Superwak, il balade son micro sur les scènes de Suisse et d’ailleurs. Octobre 2016: participation à Vernier sur Rock. Inscrivez-vous et recevez les newsletters de votre choix. Attablé dans une cafétéria au Petit-Lancy, Makala fredonne ce tube de Michel Berger entendu dans l’ascenseur quelques minutes plus tôt. De sa jeune enfance, il garde un souvenir flou, comme si tout avait commencé en 2002, quand sa famille déménage à Genève. Et puis je suis arrivé, juste au bon moment.» Un prophète, c’est ainsi que le décrit Thibault. Les liens avec son pays d’origine, le Congo, sont ténus, son lingala, timide. Elles ne représentent nullement la position du Temps. «J’ai la violence dans la manière de faire. «Dans mes rêves, des filles s’évanouissent en me voyant débouler», sourit-il. Il est l'un des principaux représentants du rap en Suisse romande, et plus généralement dans la Suisse entière, en compagnie de ses acolytes au sein du collectif genevois Superwak Clique : Di-Meh et Slimka[2]. Il ne s’arrête plus. Ces mixtapes lui permettent de se créer un public, de même que pour ses acolytes du collectif Superwak Clique, fondé en 2014 avec d'autres artistes locaux comme Di-Meh, Slimka et Rico TK. «J’assume. https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Makala_(rappeur)&oldid=175033213, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Pas de phrases griffonnées sur un bout de papier. «Dès que tu sors des cases, les gens pensent que tu es louche, lâche-t-il. Les Opinions publiées par Le Temps sont issues de personnalités qui s’expriment en leur nom propre. La politique est un univers étrange quoique… dans le milieu du rap aussi, il faut se faire élire.» S’identifie-t-il à la figure du rappeur poète, comme le veut la tendance?