Mais il est possible également que la différence entre les deux périodes ne soit tout simplement pas significative et que le Gabon constitue donc depuis deux décennies un pays à très faible déforestation[8]. Mais, au regard de leur régime juridique, ces mécanismes ne sont pas toujours évidents à mettre en place, entendu qu'ils correspondent davantage à la Common law qu'au droit civil. Avec la zaïrianisation, le pays s'est appelé Zaïre de 1971 à 1997. L’Angola devrait rejoindre ces pays prochainement. Elle couvre près de trois millions de km2 et est partagée entre six pays, le Cameroun, la République centrafricaine, la République du Congo, la République démocratique du Congo, le Gabon et la Guinée équatoriale. Il dispose de plus de 170 millions d’hectares de forêt dense humide et plus de 116 millions d’hectares d’autres types de couverts forestiers (forêts claires, savanes arborées)[2],[note 1]. Les forêts congolaises sont l'une des écorégions mondiales[3]. Les dégâts sont écologiques avec une diminution de la biodiversité mais les conséquences sont aussi économiques avec la perte de ressources financières à long terme. La faible pression démographique, l'accès difficile et le manque d’infrastructures ont permis de protéger le couvert forestier de cette région du monde pendant une longue période. Parcourez le monde grâce à cette carte du Congo - Brazzaville interactive. PROVINCE DE L'ITURI . L’étude révèle que si l’ethnie Mongo a une unité linguistique et culturelle incontestée, les subdivisions y sont nombreuses et peuvent correspondre à des … Les commandes sur la droite animent les prévisions. Les présidents du Cameroun Paul Biya, du Gabon Omar Bongo Ondimba, du Tchad Idriss Déby, de la République centrafricaine François Bozizé et de Guinée équatoriale Teodoro Obiang Nguema Mbasogo ainsi que le président français Jacques Chirac étaient présents. Cartes de la République démocratique du Congo. Environ 20 %[9] à 25 %[10] du bois est certifié FSC. Ville de Bunia (Province de l'Ituri) L'Ituri est depuis 2015 une province de la République démocratique du Congo à la suite de l'éclatement de la Province orientale2.L'Ituri a comme chef-lieuBunia, dans le territoire d'Irumu. La période 2000-2010 est caractérisée par un taux de déforestation observé de 0,09 % (pas significativement différent de zéro). À l'ouest, les forêts congolaises font progressivement place aux forêts de Guinée, qui s'étendent du Gabon occidental et du Cameroun jusqu'au sud du Nigéria et du Bénin ; ces zones forestières partagent de nombreuses similarités, et sont parfois connues comme les forêts guinéo-congolaises. Denis Jean Sonwa et Johnson Ndi Nkem (dir.). Les forêts du bassin du Congo forment l'une des dernières réserves de biodiversité où les forêts primaires sont interconnectées et permettent des mécanismes biologiques sans perturbation[5]. En 2002, lors du sommet de la terre à Johannesburg, a été lancé un partenariat pour le bassin du Congo regroupant les États-Unis, la France, les États de la COMIFAC, les bailleurs de fonds et les ONG. Certaines ONG internationales de l’environnement restent très critiques, comme Greenpeace qui réclame un moratoire sur l’ouverture de nouvelles concessions. Ils ont approuvé un plan d’action commun et signé un traité créant une Commission des forêts d'Afrique centrale (Comifac) pour renforcer le partenariat international lancé en 2002 à Johannesburg. David Yanggen, Kenneth Angu et Nicodème Tchamou. Bérenger Tchatchou, Denis J. Sonwa, Suspense Ifo, Anne Marie Tiani. La pratique de la culture sur brûlis et l'extension des terres agricoles a notamment été analysée comme l'un des facteurs principaux de la déforestation en République démocratique du Congo[6].