Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La liste menée par Éric Piolle remporte le scrutin en progressant de manière significative entre les deux tours. L'écologiste Eric Piolle rempile pour un deuxième mandat à la tête de Grenoble. Résultat du pronostic de l'IA à Grenoble. Ailleurs, dans certains comités locaux, on trouve également des plus anciens tentés de former une liste autonome très à gauche… « Mais là, ça pourrait arranger Piolle, puisqu’il ne serait plus le gaucho de service », nous dit un observateur…, L’ancien maire est le plus en avance sur la campagne. Grenoble : Eric Piolle "rêve" t-il d'être chef de l'Etat comme l'affirment certains de ses adversaires ? Grenoble restera sous pavillon vert pour au moins six années de plus. Un deuxième tour est organisé si aucune liste n'atteint la majorité absolue et au moins 25 % des inscrits au premier tour. Trois élus ayant siégé dans l'opposition de droite entre 2001 et 2008 figurent également sur la liste de Michel Destot, dont Bernard Betto, ancien adjoint de son prédécesseur, Alain Carignon. Début janvier 2014, Matthieu Chamussy, qui fait face au refus de plusieurs proches d'Alain Carignon de figurer sur sa liste, tels Michel Tavelle[44], Benjamin Piton[45] et Adrien Fodil[46], ce dernier rejoignant la liste de Denis Bonzy[47], dévoile les premières mesures qu'il mettrait en place après son élection et annonce que son programme complet sera publié le 16 janvier[48]. Fin novembre, la gauche réagit vivement à la décision de l'UMP d'imposer la présence d'Alain Carignon sur la liste conduite par Matthieu Chamussy, rappelant les lourdes condamnations pénales de l'ancien maire[42],[43]. La liste « Croire en Grenoble » de Mathieu Chamussy est présentée à la presse le 1er février[57]. Les prochaines élections municipales auront lieu en mars 2020, sur deux tours. Najat Vallaud-Belkacem vient soutenir Jérôme Safar le 20 février[64], suivie le lendemain par Jean-François Copé pour Matthieu Chamussy[65]. Actualités Conseil Municipal Finances. Avec des tractations et des rencontres (secrètes ou pas). Une victoire sans appel. Le reste est réparti à la proportionnelle entre toutes les listes ayant obtenu au moins 5 % des suffrages exprimés. Le MRC et le PRG confirment également soutenir le candidat socialiste. Avec 53,13% des suffrages recueillis lors du second tour des élections municipales, Eric Piolle et 45 candidat-es de Grenoble en commun ont été élu-es pour siéger au conseil municipal de… Ali. Dans la soirée Jean-Claude Peyrin déclare que la « décision irresponsable » de Matthieu Chamussy va lui faire perdre l'investiture[18],[19], ce qui est confirmé par Jean-François Copé le 15 octobre[20] et contesté par Matthieu Chamussy, lequel annonce qu'il sera candidat quoi qu'il arrive, et par des proches de François Fillon[21],[22]. Le 1er mars, Philippe de Longevialle rend public la liste qu'il conduit[72]. À ce dernier, la liste d'union de la gauche arrive en tête avec une majorité relative ce qui permet à Michel Destot, maire depuis 1995, d'être réélu pour un troisième mandat. Donc, l’attente semble être de mise pour Éric Piolle qui reste ainsi maître du tempo. Pour l’instant, il semblerait que certains ego auraient plutôt tendance à s’entrechoquer. Et voilà déjà de longs mois que cela s’agite en Isère, notamment à Grenoble. Au cours de l'automne, plusieurs membres de la liste de Gilles Dumolard quittent celle-ci en raison de sa ligne jugée trop droitière. Les élections municipales se sont tenues à Grenoble, où les citoyens étaient attendus ce 15 mars 2020. Le 10 janvier Jean-Marie Le Pen vient soutenir Mireille d'Ornano[51] ce qui provoque un rassemblement anti-FN qui réunit 300 personnes[52]. Résultat du pronostic de l'IA à Grenoble. Il n'est pas blessé mais l'acte est condamné par ses concurrents et par des personnalités politiques nationales[93]. Le mot d’ordre : “Ni Piolle ni Carignon”. Au 2nd tour des élections municipales 2014, les 50 089 électeurs de Grenoble (38100) en Isère ont placé en tête Eric PIOLLE (Liste Europe-Ecologie-Les Verts) avec 40.02% des voix. Actualités Conseil Municipal Finances. Beaucoup de choses devraient se décanter en juin, après les résultats des européennes qui seront étudiés à la loupe par les formations politiques. Le mode de scrutin à Grenoble est celui des villes de plus de 1 000 habitants : la liste arrivée en tête obtient la moitié des 59 sièges du conseil municipal. Le 24 février, Denis Payre vient soutenir Denis Bonzy[68]. Une victoire sans appel. Le 26 mars, la liste Nous Citoyens se divise entre Denis Bonzy, qui rejoint Jérôme Safar, et la majorité de ses colistiers, qui se rangent derrière Matthieu Chamussy[88]. Au contraire, la liste de Mireille d'Ornano perd des voix entre le premier et le second tour mais sa présence à ce dernier permet au FN de revenir au conseil municipal de Grenoble pour la première fois depuis 1995. Matthieu Chamussy, qui annonce le même jour le soutien de Gilles Dumolard à sa liste, invite Éric Piolle à un débat face à face, considérant que la droite a une chance historique de gagner Grenoble et que Jérôme Safar et Mireille d'Ornano sont hors course[85]. Cela lui permet de garder du champ libre pour quelques séquences nationales dont il semble très friand. pic.twitter.com/BCGLVR26L4, Des villes et des villages renaît l'espérance. Les Élections municipales françaises de 2014 se déroulent les 23 et 30 mars à Grenoble. A Grenoble, les Verts, puis Europe Écologie Les Verts, ont une tradition d'alliance avec divers groupements locaux écologistes et de la gauche radicale. Après avoir soutenu le PS en 1995 pour gagner la ville, face au maire RPR sortant Alain Carignon, impliqué dans l'affaire Dauphiné News et qui sera ultérieurement condamné à une peine de prison ferme, l'association locale ADES, regroupant écologistes et anticapitalistes, a présenté une liste autonome en 2008. Mais Éric Piolle, le maire écolo à vélo, n’a toujours pas annoncé officiellement sa candidature à la réélection. Alors que le premier tour de la primaire est prévu le 6 octobre 2013, le président de l'UMP 38, Jean-Claude Peyrin, décide, fin août, à la surprise générale, de suspendre le processus et transmet le dossier aux instances nationales[4],[5],[6]. Pourquoi ? Le lendemain, dernier jour de la campagne électorale, le passager d'une camionnette fait chuter Éric Piolle d'un coup de pied alors que celui-ci circule à vélo[92].