Mais il ne faudrait pas que cela se reproduise trop souvent »[11]. Le lendemain, l'aviation israélienne bombarde massivement des bureaux de l’OLP à Beyrouth, tuant entre 200 et 300 personnes, principalement des civils libanais, et en blessant plus de 800[3]. Le 28 janvier 2015, deux soldats israéliens sont tués dans la région des fermes de Chebaa dans l'extrême nord du Golan, lors d'une série d'attaques lancées par le Hezbollah[12]. Le Liban a la particularité d’être le plus petit état du Proche-Orient. Privilégiant jusque-là la voie diplomatique, le premier ministre Saad Hariri semblait lui-même aussi cautionner l’option d’une riposte militaire du Hezbollah. La dernière modification de cette page a été faite le 4 septembre 2020 à 08:27. L'armée israélienne lance entre le 11 avril et le 27 avril 1996 toute une série d'attaques sur … Le 25 avril 2013, la Force aérienne et spatiale israélienne abat un drone du Hezbollah au large de Haïfa[9]. Le … Selon la milice chiite, un premier appareil contenant plus de cinq kilos d’explosifs serait tombé dans le secteur, tandis qu’un second aurait causé, en explosant, d’importants dégâts dans un centre des médias du mouvement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La ligne démarquant les deux Pays est donc la ligne bleue, une ligne tracée en 2000 par l'ONU afin d'acter le retrait des forces israéliennes du Sud du pays. Les relations entre Israël et le Liban sont des relations internationales s'exerçant entre l'État d'Israël et la République libanaise. Israël les occupe depuis la guerre des Six Jours, et considère même les avoir annexées (en tant que partie du plateau du Golan). Le Liban a subi 140 attaques israéliennes entre 1949 et 1964, et plus de 3 000 morts entre 1968 et 1974. Le Liban après les violentes explosions à Beyrouth, Liban : Emmanuel Macron accuse les partis politiques de « trahison », Au Liban, le premier ministre renonce à former un gouvernement et démissionne, Liban : toujours privé de gouvernement, le pays se dirige « vers l’enfer », Covid-19 : fragilisé, le Liban confronté au risque d’aggravation sanitaire, Au Liban, l’espérance des résidents handicapés du foyer Anta Akhi, Rana Abdel Al, soigner et réinsérer après l’explosion de Beyrouth, Fadlo Dagher : « Le patrimoine est une petite bataille dans la grande bataille pour le Liban », Dans le centre dévasté de Beyrouth, priorité au commerce, Au Liban, un vrai contrat de travail pour les « bonnes », © 2020 - Bayard Presse - Tous droits réservés - @la-croix.com est un site de la Croix Network, Fin de l’enquête sur l’assassinat du père Hamel, Dépenser vite et fort : un budget 2021 de relance et de déficits, Procès des attentats de janvier 2015 : « L’énorme regret » d’un chef du renseignement, Canicule : le rafraîchissement arrive enfin par le nord-ouest, Cynthia Fleury : « Ne pas soutenir le soin, c’est ruiner la solidarité », Courances, un « jardin d’eau » sans cesse réinventé, Transition au Mali, les militaires gardent la main, États-Unis, 20 morts dans une fusillade à caractère vraisemblablement raciste au Texas, L'enquête russe revient empoisonner Donald Trump au Congrès, Pierre Rosenberg fait don de sa collection au futur musée du Grand Siècle, Accusations d’antisémitisme : Stéphane Bern défend l’écrivain Pierre Loti, En Guinée, l’archevêque de Conakry dénonce l’expropriation abusive des domaines de l’Église, Olivier Giroud : « Jésus est avec moi sur le terrain », Instrument de travail pour le Synode 2019 sur l’Amazonie, sur le site de l’Institut national d’études stratégiques (INSS). Des tensions éclatent par ailleurs en 2010 après la découverte par Israël de ressources de gaz naturel en mer Méditerranée situées dans sa zone économique territoriale exclusive tandis que le Liban affirme que ces ressources font partie de son intégrité territoriale[5],[6]. Dimanche 25 août, un drone armé – d’origine israélienne, selon Beyrouth – est parvenu à prendre pour cible la banlieue sud de la capitale, fief du Hezbollah pro-iranien. Entre le Liban et Israël, les canons se sont tus mais une guerre d’un autre type se poursuit, celle du renseignement, ... se servait de ses relations et de sa position pour approcher les hauts dirigeants du Hezbollah. Israël envahit une partie du Liban du Sud en 1978 (Opération Litani — qui provoque 1 186 morts civils et 285 000 réfugiés) puis l'intégralité en 1982 (opération Paix en Galilée — près de 20 000 morts parmi la population civile et 500 000 déplacés)[2]. L'état de guerre se termine par l'accord israélo-libanais, convenu le 23 mars 1949[1]. Israël a par ailleurs annexé le Golan en 1981 après sa conquête lors de la guerre des Six Jours en 1967. Les tensions entre les deux pays atteignent leurs apogées lors du conflit israélo-libanais de 2006 déclenché par Israël en raison des attaques de roquettes du Hezbollah contre les villes israéliennes et la capture de soldats de Tsahal par le groupe islamiste chiite.