L’hôtel Le Palais Gallien à Bordeaux : Un hébergement hors du commun au cœur du « triangle d’or » de Bordeaux. On les appelle les châteaux Cathares ou «... Les peintres-alpinistes de la tour Eiffel, Le Cézallier : le vertige à l'horizontale, Galerie des Glaces de Versailles : la splendeur retrouvée, Découvrez les fontaines du château de Versailles, Le grand appartement de la reine à Versailles, Versailles : le grand appartement de la Reine, Versailles en été : d'Anish Kapoor aux Grandes Eaux, Morlaix : un patrimoine architectural séculaire, Notre-Dame de Cléry-Saint-André : à la mémoire du grand Louis XI, Angers : entre histoire et douceur de vivre, Découvrez Vaux-le-Vicomte à la lumière des chandelles, Les plus beaux châteaux de la Loire à visiter absolument, Châteaux cathares : les citadelles du vertige, Les châteaux forts à visiter absolument en 2020. Impossible ne pas lever les yeux : les plafonds peints de la voûte décrivent les exploits politiques et militaires du Roi-Soleil. Les interminables talons aiguilles des purs sang frappent le pavé avec une assurance royale, tandis que les bourgeoises ventripotentes de la cour se sont muées en blogueuses élancées. source : Hors série Collection Versailles. « Certes, l’iconographie est au service de la politique royale, explique Nicolas Milovanovic, mais c’est aussi un grand hommage à l’art et aux artistes. On s’est rendu compte, lors la restauration, que plus de 70 % d’entre eux étaient d’origine. La galerie des glaces compte pas moins de 357 miroirs ! Reportages, photos, bons plans: partez à la découverte des régions françaises avec notre newsletter ! La Galerie des Glaces a été restaurée en 2007. Vue d’ici, la voûte de Le Brun est beaucoup moins spectaculaire ! Les interminables talons aiguilles des purs sang frappent le pavé avec une assurance royale, tandis que les bourgeoises ventripotentes de la cour se sont muées en blogueuses élancées. Pour toute demande relative à vos données personnelles, vous pouvez contacter le délégué à la protection des données à l’adresse mail suivante : dpo@uni-medias.com, ou introduire une réclamation auprès de la Commission Nationale Informatique et Libertés. On décida ensuite de remplacer Apollon par Hercule, explique Nicolas Milovanovic, conservateur au château et spécialiste de Le Brun. Peu de gens ont eu le privilège de visiter cet endroit secret ! La galerie des glaces est longue de 73 mètres. Cette profusion de miroirs de grandes dimensions est un exploit technique. L’auteur de ce morceau de bravoure ? La Galerie est longue de 73 m et large de 10,50 m. Elle est éclairée par 17 fenêtres, donnant sur le parc. Elles sont conservées pendant une durée de trois ans à compter du dernier contact. évoquent la guerre de Hollande (1672-1678). Observez la composition située à l’extrémité de la galerie, côté salon de la Paix. Longue de 73 m, elle permet de relier lesappartements du Roi et ceux de la Reine. Silence, les bourreaux rechargent leurs appareils, les têtes flashées tombent. Après la victoire sur les trois puissances liguées, représentées au salon de la Guerre, la galerie exalte tout au long de ses soixante-treize mètres les succès politiques, économiques et artistiques de la France. de Versailles, qui met fin à la Première Guerre mondiale. Mais … Au centre du plafond de la Grande Galerie, le morceau de bravoure de Le Brun : le roi gouverne par lui-même (partie droite de la photo). créée par Jules Hardouin Mansart entre 1678 et 1684. « L’ensemble des miroirs de la galerie a été traité, seuls quarante-huit ont été remplacés. L’architecture : La galerie des Glaces est longue de 73 mètres, large de 10,50 mètres d’une hauteur de 12,30 mètres. La restauration a pris en compte l’éclairage, étudié pour fournir une intensité similaire à celle des bougies. Profitez des avantages de l’offre numérique. Dans la foule, les jupons sont devenus courts et cintrés, les échancrures et dos nus ont remplacé les traines. Une dizaine vient des magasins du Sénat, et la majorité de mon stock. Superbe et inédit à l’époque, ce décor est le fruit d’une véritable prouesse technique : la fabrication de ces miroirs impliquait un mélange à chaud d’étain et de mercure, un procédé très toxique du fait des vapeurs de ce métal. Aujourd’hui encore, lorsqu’on pénètre dans cette pièce conçue par l'architecte Jules Hardouin-Mansart, on se sent petit... Longue de soixante-treize mètres, large de dix mètres cinquante, haute de douze mètres trente, cette galerie démesurée est baignée par la lumière qui entre par dix-sept grandes fenêtres et se reflète dans dix-sept panneaux de glace sur le mur opposé. Sur cette immense voûte, il est question de politique intérieure – les ovales au centre illustrent les quatre fondements du gouvernement : Justice, Finances, Commerce, Arts – mais aussi de politique extérieure. Louis XIV est au sommet de, sa puissance. Mais dans ce sombre grenier, il est possible de découvrir, torche en main, quelques vestiges de la terrasse à l’italienne, ouverte sur le ciel et les jardins, aménagée par Le Vau en 1668.