POPEYE : Hé ben messieurs, on vous remercie beaucoup, hein… BERNARD : Ta gueule ! JEAN-CLAUDE : N’exagérons rien ! Heu… tu veux boire quelque chose ? JEROME : Oui, enfin non ! NATHALIE : Mais, je peux pas ! (Nathalie gifle Bernard) Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Il pouvait pas mieux se garer, lui ! JEROME : Wouuuuu !…. JEROME : Qu’est c’que c’est qu’ça ?

Moi, l’année prochaine, je skie en juillet ! POPEYE : C’est dans l’combien, ça ? Quoi qu'il en soit, une nouvelle suite aurait forcément de quoi aiguiser les appétits, malgré sa forte improbabilité si l'on en croit Patrice Leconte. MONSIEUR CAMUS : Oui, mais non ! POPEYE : Alors ? GIGI : On dort où, Popeye ? Si vous continuez à naviguer, vous acceptez l'utilisation de cookies.Privacy policy | D'accord! POPEYE : Trois mille huit à peu près !

BERNARD : Jérôme ! JEAN-CLAUDE : J’vais t’le planter l’bâton, moi, j’vais t’le planter, moi, l‘bâton, moi ! Y tomb’ront pas plus bas ! JEAN-CLAUDE : C’est quoi les p’tits trucs blancs là-dedans ? CHRISTIANE : Tu mettras ta ceinture ! CHRISTIANE : Mais qu’est ce qu’il s’est passé ? JEAN-CLAUDE : Quoi ho ? (de retour avec Bernard et Nathalie) bon les amis, alors où est ce qu’on en est ? POPEYE : Oh, t’as gagné Bernard, ils dormaient, tu les as réveillés, maintenant ils remettent ça ! BERNARD : Ca va, te casse pas, on a compris ! Faut pas lésiner ! LE PAYSAN 2 : Mangez p’tit ! BERNARD : Bon Popeye, qu’est ce qu’on fait là ? NATHALIE : Oh moi, ils me rendent zinzin ! C’est la réceptionniste de l’hôtel ? POPEYE : Oh ben ça, c’est quand vous voulez ! BERNARD : Ecoutez, c’est formidable, on est le 16 ! JEAN-CLAUDE : Pour 500 grammes ! POPEYE : Tu l’as déjà fait, ho ! POPEYE : C’est très gentil, merci beaucoup Bernard !… Allez, bonjour à Olive ! BERNARD : Si vous avez envie de vous laisser marcher sur les pieds, ça vous regarde ! ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). Nous allons monter par le télésiège et là-haut, on prendra un verre de vin chaud ! En savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits. Tournages bloqués, sorties repoussées, budgets alourdis par les mesures sanitaires, stars mobilisées : le virus n'en finit pas de gripper le cinéma américain. Puis tu m’fil’ras un coup d’balai parce que hier c’était vraiment dégueulasse ! BERNARD : Mais il travaille encore au magasin ? GILBERT : Si y en a qui veulent descendre, n’hésitez pas, j’ai de la place ! Allez chercher l’hélicoptère et puis vous rev’nez ! MARIUS : De quoi j’pourrais leur parler encore ? JEAN-CLAUDE : Attends une seconde… Bon écoutez, si jamais elle repasse, vous lui dites de m’appeler sans faute, hein ? T’as une carte de visite ? BERNARD : Excuse-moi, Popeye ! 60EME CONGRES DE LA FNCF (FEDERATION NATIONALE DES CINEMAS FRANCAIS) EQUIPE LES BRONZES 3 AMIS POUR LA VIE MARIE ANNE CHAZEL JOSIANE BALASKO PATRICE LECONTE CHRISTIAN CLAVIER THIERRY LHERMITTE MICHEL BLANC GERARD JUGNOT FRANCIS BOEPSFLUG (DIRECTEUR WARNER BROS FRANCE), 9/15 - FERNANDA : Oh, qu’est ce que c’est lourd la bouche ! JEROME : Ca débouch’rait un chiotte, ça !

Les Bronzés premier du nom ayant connu un beau succès avec 2,3 millions d'entrées, le producteur Yves Rousset-Rouard incite fortement la troupe du Splendid à mettre en chantier une suite. C’est l’genre à s’installer pendant 3 moi chez moi ! JEAN-CLAUDE ARRIVE A L’HOTEL JEROME : Santé… JEAN-CLAUDE : Non, évidemment, on n’est pas des bêtes, il s’agit pas de ça, mais imaginons… c’est une supposition, hein ! POPEYE : Bon, on file à la coulée des grands bronzes. POPEYE : Oui, faut connaître la montagne, oui ! JEAN-CLAUDE : Bonjour ! tas d‘ordures ! JEROME : Merde, merde, merde ! "Le processus a presque duré six mois, on a fait des réunions pour chercher ce qu'on voulait faire.

GIGI : Tiens, j’t’ai pas dit ? POPEYE : Ben, j’en sais rien, j’ai jamais foutu les pieds ici ! JEAN-CLAUDE : Et puis on est à combien ? NATHALIE : Bonjour, heu, Martine ! GIGI : On veut pas abuser ! NATHALIE : Plus grand !… GIGI : Moi, j’ai tellement faim, je boufferais n’importe quoi ! Un petit 10% ? Gracié mille ! NATHALIE : Hé, y a des bêtes !